Préalable à l’écriture
Il y a 2 possibilités :
- Vous pouvez cliquer sur Nouveau sujet au-dessus du sujet qui correspond le plus au thème de votre message.
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Texte original défectueux
Voyez l’endroit choisi, le titre, et le contenu du message, puis comparez. Lisez ensuite les explications entre les deux versions avant-après.
Lieu du message : Les ressources littéraires des écrivains publics
Titre du message : VOICI CE QUE J’AI TROUVE
Bonjour à tous.
Cette expression Marquer à la culotte nous vient des milieux foobtabalistiques.
Il s’agissait d’une expression imagée créée dans les années 20. Dans les milieux sportifs, il s’agissait de serrer un joueur au plus près de façon à surveiller ses moindres faits et gestes. On disait alors que l’on marquait un joueur. AU foot, les joueurs portent une culotte : l’expression est donc devenue : marquer à la culotte. :D :P :lol:
:? Un contrerévolutionnaire de 1789 ne pouvait donc pas marquer un sans-culotte à la culotte, non pas parce que ceux-ci ne portaient pas de culotte, mais tout simplement parce que c’est un anachronisme.
Mais d’où nous vient la culotte ? Les Gaulois portaient la braie à la façon d’Obélix, puis on porta le bas-de-chausse (qui chaussait le bas) qui rejoignait le haut-de-chausse (par opposition au bas) au niveau du genou. Le bas-de-chausse se transforma en chaussette, et le haut-de-chausse en culotte (qui partait du cul). La culotte était donc une sorte de bermuda. Elle fut concurrencée dans les milieux populaires par le pantalon venu d’Italie. Les sans-culottes ne portaient donc pas de culotte, mais un pantalon. http://www.expressio.fr/expressions/mar ... ulotte.php
Bises tatous et tatoutes,
Jean LA BICHE
Correction du texte
Bonjour à tous.
Cette expression Marquer à la culotte nous vient des milieux foobtabalistiques.
Il s’agissait d’une expression imagée créée dans les années 20. Dans les milieux sportifs, il s’agissait de serrer un joueur au plus près de façon à surveiller ses moindres faits et gestes. On disait alors que l’on marquait un joueur. AU foot, les joueurs portent une culotte : l’expression est donc devenue : marquer à la culotte. :D :P :lol:
:? Un contrerévolutionnaire de 1789 ne pouvait donc pas marquer un sans-culotte à la culotte, non pas parce que ceux-ci ne portaient pas de culotte, mais tout simplement parce que c’est un anachronisme.
Mais d’où nous vient la culotte ? Les Gaulois portaient la braie à la façon d’Obélix, puis on porta le bas-de-chausse (qui chaussait le bas) qui rejoignait le haut-de-chausse (par opposition au bas) au niveau du genou. Le bas-de-chausse se transforma en chaussette, et le haut-de-chausse en culotte (qui partait du cul). La culotte était donc une sorte de bermuda. Elle fut concurrencée dans les milieux populaires par le pantalon venu d’Italie. Les sans-culottes ne portaient donc pas de culotte, mais un pantalon. http://www.expressio.fr/expressions/mar ... ulotte.php
Bises tatous et tatoutes,
Jean LA BICHE
Lieu du message : Le message n’a rien à voir avec Les ressources littéraires des écrivains publics du forum Grécistes où il avait été placé, et il n’a rien de secret. Il peut donc être lu par les Nouveaux utilisateurs. Il suffit de trouver le bon endroit. Or, il s’agit de lexicographie. Il n’existe aucun sous-forum du GREC là-dessus. Il faut donc le déplacer dans le forum le plus approchant.
Le titre
On voit que le titre n’est pas descriptif, et il est pour le moins rasoir. Qui a envie de lire ça ? Comme tous les titres des messages du forum vont être lisibles par tous les visiteurs, il est impératif de trouver un titre plus évocateur, qui parle autant aux robots de référencement qu’à notre imaginaire.
Il faut par ailleurs respecter les règles d’écriture des titres comme on le fait pour un ouvrage. Si ce titre utilise des lettres accentuées, leurs majuscules portent également l’accent :TROUVE devrait être écrit TROUVÉ. On évite cependant les majuscules inutiles, et, comme on est en Francophonie et pas en Anglosaxophonie, la majuscule se mérite : elle ne s’écrit pas sur chacun des mots et on écrirait en fait ici : Voici ce que j’ai trouvé… si ce titre avait un intérêt, ce qui n’est pas le cas ici.
Si votre titre se rapporte par ailleurs à un évènement, il faut indiquer le lieu et la date dans le titre : un message publié aujourd’hui ne serait plus compris une fois la date périmée si la date n’était pas indiquée dans le titre.Salon de l’écriture doit devenir Salon de l’écriture de Pornic 2016.
Le nouveau titre devient ainsi, par exemple : La culotte et le marquage à la culotte.
Le texte
Le texte pullule d’erreurs le rendant imbuvable.
1. Il contient une faute d’orthographe :foobtabalistiques au lieu de footballistiques, ce qui le met à mal pour un forum de professionnels de l’écriture. Le au de AU foot ne devrait pas être écrit tout en majuscules. L’expression années 20, va amener une confusion à partir de 2020 ; il vaut mieux écrire années 1920.
2. La lecture est ici particulièrement ardue malgré un contenu très compréhensible. Le texte manque d’aération. Qui va avoir envie de lire tout ce fatras ? Il faut sauter une ligne entre chaque paragraphe. Inversement, il ne faut pas insérer une ligne vide entre chaque ligne d’écriture. Il faut également utiliser les boutons associés aux différentes fonctionnalités usuelles d’écriture : lien, image, vidéo, texte supprimé, texte ajouté, etc. (passer la souris en mode édition sur les boutons qui apparaissent au-dessus de la zone de saisie du texte).

3. Les émoticônes doivent être utilisées avec parcimonie. La profusion de :D :) :o ne fait pas in. Elle fait vieux geek des années 1990 – 2000.
4. Les jeux de mots comme Bises tatous et tatoutes risquent souvent de ne pas être compris, et donc d’amener de la confusion, d’une part pour les lecteurs, et d’autre part pour les moteurs de recherche qui vont même croire ici à un texte sur le tatou et donc ne plus rien comprendre à ce qu’ils doivent référencer.
5. Le texte ne doit parler que d’un seul sujet. Le texte est conforme sur ce point. Si vous voulez par contre parler de plusieurs choses différentes, il faut créer autant de discussions différentes que nécessaire. Inversement, avant d’ouvrir une discussion, vérifiez auparavant qu’il n’existe pas déjà une discussion identique traitant du même sujet : si c’est le cas, votre message devra simplement répondre à la discussion déjà présente.
6. L’auteur a confondu l’échange épistolaire de l’ancien temps façon Madame de Sévigné, avec la transcription de discussion de café littéraire qu’est en réalité un forum de discussions. Il faut généralement virer la formule d’appel (bonjour à toutes, et à tous) quand on ne fait pas de demande, et il faut la remplacer par une accroche.
Et le texte final futOn voit que le titre n’est pas descriptif, et il est pour le moins rasoir. Qui a envie de lire ça ? Comme tous les titres des messages du forum vont être lisibles par tous les visiteurs, il est impératif de trouver un titre plus évocateur, qui parle autant aux robots de référencement qu’à notre imaginaire.
Il faut par ailleurs respecter les règles d’écriture des titres comme on le fait pour un ouvrage. Si ce titre utilise des lettres accentuées, leurs majuscules portent également l’accent :
Si votre titre se rapporte par ailleurs à un évènement, il faut indiquer le lieu et la date dans le titre : un message publié aujourd’hui ne serait plus compris une fois la date périmée si la date n’était pas indiquée dans le titre.
Le nouveau titre devient ainsi, par exemple : La culotte et le marquage à la culotte.
Le texte
Le texte pullule d’erreurs le rendant imbuvable.
1. Il contient une faute d’orthographe :
2. La lecture est ici particulièrement ardue malgré un contenu très compréhensible. Le texte manque d’aération. Qui va avoir envie de lire tout ce fatras ? Il faut sauter une ligne entre chaque paragraphe. Inversement, il ne faut pas insérer une ligne vide entre chaque ligne d’écriture. Il faut également utiliser les boutons associés aux différentes fonctionnalités usuelles d’écriture : lien, image, vidéo, texte supprimé, texte ajouté, etc. (passer la souris en mode édition sur les boutons qui apparaissent au-dessus de la zone de saisie du texte).

3. Les émoticônes doivent être utilisées avec parcimonie. La profusion de :D :) :o ne fait pas in. Elle fait vieux geek des années 1990 – 2000.
4. Les jeux de mots comme Bises tatous et tatoutes risquent souvent de ne pas être compris, et donc d’amener de la confusion, d’une part pour les lecteurs, et d’autre part pour les moteurs de recherche qui vont même croire ici à un texte sur le tatou et donc ne plus rien comprendre à ce qu’ils doivent référencer.
5. Le texte ne doit parler que d’un seul sujet. Le texte est conforme sur ce point. Si vous voulez par contre parler de plusieurs choses différentes, il faut créer autant de discussions différentes que nécessaire. Inversement, avant d’ouvrir une discussion, vérifiez auparavant qu’il n’existe pas déjà une discussion identique traitant du même sujet : si c’est le cas, votre message devra simplement répondre à la discussion déjà présente.
6. L’auteur a confondu l’échange épistolaire de l’ancien temps façon Madame de Sévigné, avec la transcription de discussion de café littéraire qu’est en réalité un forum de discussions. Il faut généralement virer la formule d’appel (bonjour à toutes, et à tous) quand on ne fait pas de demande, et il faut la remplacer par une accroche.
- À ce propos, remarquer que les 250 premiers signes des nouveaux messages du forum apparaissent en bas des pages de l’annuaire : une bonne accroche amènera plus de lecteurs.
- Il faut de la même façon toujours éviter les formules dites de salutation en conclusion du message (Bises à tous et à toutes).
- La signature dans le corps du message (
Jean La BICHE) est quant à elle totalement interdite : elle fait vraiment vieux jeu, et surtout, présentée ainsi, c’est très mauvais pour le référencement. Pour ajouter une signature conforme, il suffit d’aller dans le Panneau de l’utilisateur, et de remplir la partie réservée à cela : Panneau de l’utilisateur/Profil/Modifier la signature.
Lieu du message : Le métier d’écrivain public, la particularité de l’Écrivain-Conseils ©
Titre du message : La culotte et le marquage à la culotte

Peut-on tout marquer à la culotte ?
Cette expression nous vient des milieux footballistiques.
Il s’agissait d’une expression imagée créée dans les années 1920. Dans les milieux sportifs, elle consistait à serrer un joueur au plus près de façon à surveiller ses moindres faits et gestes. On disait alors que l’on marquait un joueur. Au foot, les joueurs portent une culotte : l’expression est donc devenue : marquer à la culotte.
Un contrerévolutionnaire de 1789 ne pouvait donc pas marquer un sans-culotte à la culotte, non pas parce que ceux-ci ne portaient pas de culotte, mais tout simplement parce que c’est un anachronisme.
Mais d’où nous vient la culotte ?
Les Gaulois portaient la braie à la façon d’Obélix, puis on porta le bas-de-chausse (qui chaussait le bas) qui rejoignait le haut-de-chausse (par opposition au bas) au niveau du genou. Le bas-de-chausse se transforma en chaussette, et le haut-de-chausse en culotte (qui partait du cul). La culotte était donc une sorte de bermuda. Elle fut concurrencée dans les milieux populaires par le pantalon venu d’Italie. Les sans-culottes ne portaient donc pas de culotte, mais un pantalon.
Source : l’expression : Marquer à la culotte.

Peut-on tout marquer à la culotte ?
Cette expression nous vient des milieux footballistiques.
Il s’agissait d’une expression imagée créée dans les années 1920. Dans les milieux sportifs, elle consistait à serrer un joueur au plus près de façon à surveiller ses moindres faits et gestes. On disait alors que l’on marquait un joueur. Au foot, les joueurs portent une culotte : l’expression est donc devenue : marquer à la culotte.
Un contrerévolutionnaire de 1789 ne pouvait donc pas marquer un sans-culotte à la culotte, non pas parce que ceux-ci ne portaient pas de culotte, mais tout simplement parce que c’est un anachronisme.
Mais d’où nous vient la culotte ?
Les Gaulois portaient la braie à la façon d’Obélix, puis on porta le bas-de-chausse (qui chaussait le bas) qui rejoignait le haut-de-chausse (par opposition au bas) au niveau du genou. Le bas-de-chausse se transforma en chaussette, et le haut-de-chausse en culotte (qui partait du cul). La culotte était donc une sorte de bermuda. Elle fut concurrencée dans les milieux populaires par le pantalon venu d’Italie. Les sans-culottes ne portaient donc pas de culotte, mais un pantalon.
Source : l’expression : Marquer à la culotte.